Sagot :
Réponse :
1) Du côté de la croissance démographique, les arrondissements de Lyon connaissent des trajectoires différentes. Les arrondissements de la Presqu'île (Lyon 1er, 2e et 4e) ont peu gagné de population entre 2011 et 2016. La population du 2e arrondissement a même reculé de 0,1 % en 5 ans. À L'inverse le 7e arrondissement est en pleine croissance avec une augmentation moyenne de la population de 2,2 % par an depuis 2011. Une croissance notamment due aux nombres de terrains disponibles contrairement à la Presqu'île ou l'immobilier (mis à part la Confluence) évolue peu.
2) Lyon est aujourd'hui une des principales aires urbaines de France car la métropole du grand Lyon totalise 1,3 millions d’habitants et l’Aire urbaine le double (2,6 millions).
Depuis les années 1950 la population de l’aire urbaine est passée de 930 milles habitants à 2.6 millions.
La hausse des prix des terrains et la croissance démographique ont favorisé l’étalement urbain du centre vers les zones périphériques sur plus de 45 km (15 en 1950).
Dans la ville-centre qui correspond à la ville de Lyon, on trouve de jeunes actifs qui sont attirés par la présence des transports en commun pour se rendre au travail. Ils vivent dans des bâtiments anciens au cœur de la ville, de plus on observe également dans la banlieue de nombreux bâtiments tels que des lieux pour travailler, des restaurants etc...
La couronne périurbaine accueille les classes moyennes qui vivent dans des habitats individuels souvent regroupés dans des lotissements. Parfois les habitations peuvent être éparpillées dans la nature environnante, on parle de mitage.