Bonsoir,
il avait un grand emplâtre sur le visage, qui lui couvrait un œil et la moitié de la joue,
et portait un grand fusil sur son épaule, dont il avait assas siné plusieurs pies, geais et corneilles,
qui lui faisaient comme une bandoulière,
au bas de laquelle pendaient par les pieds une poule et un oison,
qui avaient bien la mine d'avoir été pris à la petite guerre.
cet habillement de tête était une manière de turban qui n'était encore qu'ébauché et
auquel on n'avait pas encore donné la dernière main.
Les relatives enrichissent le récit en descriptions ,en impressions de l'auteur, le lecteur a une vision plus précise.