Sagot :
: Dans ce passage, c'est la beauté du paysage qui conduit la comtesse à éprouver un vif bonheur : c'est la communion parfaite entre la nature et l'homme. On peut rapprocher ce passage du chapitre VIII au cours duquel Fabrice, la nuit, se laisse aller à la contemplation éblouie du lac de Côme qui lui fait oublier ses chagrins : " L'âme de Fabrice de ne peut résister à cette beauté sublime ".