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Bonjour j'ai deux réécriture à rendre pour demain et je n'arrive pas.
pouvez-vous m'aider svp ? (je suis en troisième).

consigne: Réécrivez le passage suivant au plus-que-parfait de l’indicatif. Faites toutes les modifications nécessaires.

réécriture n1: Il ne comprenait bien qu'une chose : le puits avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il semblait ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, (…) attendant par petits groupes d'être en nombre suffisant (…)La cage de fer montait du noir, se calait sur les verrous. Des moulineurs, aux différents paliers, sortaient les berlines, les remplaçaient par d'autres(…). Et c'était dans les berlines vides que s'empilaient les ouvriers.

consigne: Réécrivez le passage suivant au plus-que-parfait de l’indicatif, en remplaçant « un vieux marin » par « deux vieilles navigatrices ». Faites toutes les modifications nécessaires.

réécrituren2: Deux vieux marins des mers du Nord
S’en revenaient, un soir d’automne
Joyeux d’orgueil, ils regagnaient leur fiord.
De la rive, les gens du port
Les regardaient, sans faire un signe :
Aux cordages le long des mâts,
Les Sirènes, couvertes d’or,
Tordaient, comme des vignes,
Les lignes
Sinueuses de leurs corps.
Et les gens se taisaient, ne sachant pas
Ce qui venait de l’océan, là-bas,
A travers brumes ;
Le navire voguait comme un panier d’argent
Rempli de chair, de fruits et d’or bougeant
Qui s’avançait, porté sur des ailes d’écume.

Sagot :

bonjour

Il n'avait bien compris qu'une chose : le puits avait avalé des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il avait semblé ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers avait commençé. Ils étaient arrivés de la baraque, (…) attendant par petits groupes d'être en nombre suffisant (…)La cage de fer était montée du noir, s'était calée sur les verrous. Des moulineurs, aux différents paliers, avaient sorti les berlines, les avaient remplaçées par d'autres(…). Et c'était dans les berlines vides que s'étaient empilés les ouvriers.

Deux vieilles navigatrices des mers du Nord

S’en étaient revenues, un soir d’automne

Joyeuses d’orgueil, elles avaient regagné leur fiord.

De la rive, les gens du port

Les avaient regardées, sans faire un signe :

Aux cordages le long des mâts,

Les Sirènes, couvertes d’or,

avaient tordu, comme des vignes,

Les lignes Sinueuses de leurs corps.

Et les gens s'étaient tus, ne sachant pas

Ce qui était venu de l’océan, là-bas,

A travers brumes ;

Le navire avait vogué comme un panier d’argent

était rempli de chair, de fruits et d’or bougeant

Qui s’était avancé, porté sur des ailes d’écume.

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