Sagot :
Le maudit éternel
Dans la noirceur illuminé de cette nuitée,
Le silence hurlais dans cette clair obscurité,
Cette glaciale brume endormit rôdait,
Me scrutant dans la pénombre elle m’observait,
L’aurore est espérer, mais c’est ce tortionnaire,
Qui silencieux attend tapi humant ma chair,
Seul les phalène bougent, dans ces visqueuses ténèbres,
Prouvant le mal elles prédisent mon sort funèbre,
Au aguets je m’avance dans ce cauchemars,
Les yeux embuer tout deux couleur des fulmars,
Cœur en détresse cherchant farouchement un phare
Mélodie plaisante de mes sanglots incessants,
Au oreilles du docile démon angoissant et,
Embuscade mortelle de l’incube malfaisant.
Il faudra juste que tu changes tes contraintes.
Ici j’ai utiliser : les alexandrins, les rimes plates et les métaphores