Sagot :
Réponse :
bonjour
Explications :
3. a. De quel manque la femme souffre-t-elle ? b. En quels termes parle-t-elle des enfants ? Comment se comporte-t-elle envers eux (l. 15-33) ? Pourquoi ?
La femme souffre de ne pas avoir d’enfant. Elle parle des enfants en ces ermes : « ce tas d’enfants », « sont-t-ils jolis, à grouiller dans la poussière ». Elle est admirative, elle voudrait « en avoir un », « le tout petit ».
Elle le « baisa passionnément sur ses joues sales, sur ses cheveux blonds frisés et pommadés de terre, sur ses menottes ». Elle est émerveillée par cet enfant.
4. a. Quelle proposition les d'Hubières font-ils aux Tuvache ? Quels arguments avancent-ils?
Proposition :Mme d’Hubières propose d’emmener le petit garçon, parce que le couple n’a pas d’enfant et ils le garderaient en l’adoptant mais l’enfant pourrait venir voir ses véritables parents. Le couple argumente qu’il donnerait une somme d’argent au jeune enfant dont il pourrait jouir à sa majorité (vingt mille francs) si toutefois l’enfant ne convenait pas, et les parents recevraient une rente de cents francs par mois jusqu’à leur mort.
b. La proposition qu'ils font aux Vallin est-elle un peu différente?
Oui elle est différente puisque M. Vallin négocie la rente mensuelle d’un montant de 120 francs
c. Comment chaque famille réagit-elle ?
La première famille semble horrifiée par cette demande et ne conçoit pas que l’on puisse vendre un enfant. (l66/67)
La deuxième famille pense que ce n’est pas négligeable et après consultation et négociation du tarif, ils acceptèrent assez rapidement. Ils reçurent même en prime cent francs supplémentaire de la part de Mme d’Hubières.
5. Comment Maupassant transcrit-il le parler des paysans ? Comparez leur façon de s'exprimer avec celle des d'Hubières.
Le parler des paysans est un parler populaire et familier (« que j’vous vendions, on d’mande, ce s’rait … qué qu’ten dis »alors que le parler des d’Hubières est plus soutenu, plus mondain (Mais certainement, dès demain
6. Le dialogue permet-il de traduire la réalité sociale ?
Oui tout à fait ce dialogue permet de traduire la réalité sociale. Les paysans n’ont pas été scolarisé, n’ont pas eu une éducation à part celle du travail. Alors que les d’Hubières sont plus cultivés, ont eu une éducation puisqu’ils sont issus d’une classe sociale bien plus élevée