Sagot :
Réponse :
bonjour
Explications :
Trouvez un synonyme de l’adjectif « immobile » (ligne 4.) :
- l'air devenu immobile : qui ne se déplace pas, qui ne bouge pas : statique, figé.
Transformez la phrase au discours indirect :
Il disait : « le ciel s’éclairait de plus en plus, partout à la fois, d’une teinte laiteuse. »
- "Il disait que le ciel s’éclairait de plus en plus, partout à la fois, d’une teinte laiteuse."
Exprimez la conséquence dans la phrase suivante :
« Les tours de brique prenaient le ton du vieux cuivre, le glissement sans fin de ces blancheurs s’épaississaient.»
« Les tours de brique prenaient le ton du vieux cuivre, c’est pourquoi le glissement sans fin de ces blancheurs s’épaississaient.
Réécrivez le passage suivant en remplaçant « la ville » par « le lieu » et en procédant à toutes les modifications nécessaires :
« Peu à peu, les îlots éclatants des maisons se détachaient, la ville apparaissait à vol d’oiseau, coupée de ses rues et de ses places, dont les branches et les trous d’ombre dessinaient l’ossature géante des quartiers. »
« Peu à peu les îlots éclatants des maisons se détachaient, le lieu apparaissait à vol d’oiseau, coupé de sess rues et de ses places, dont les branches et les trous d’ombre dessinaient l’ossature géante des quartiers. »
Conjuguez les verbes entre parenthèses au présent du conditionnel :
« Une brume s’élevait des lointains de Paris, dont l’immensité s’enfonçait dans le vague blafard de cette nuée. »
« Une brume s’élèverait des lointains de Paris, dont l’immensité s’enfoncerait dans le vague blafard de cette nuée. »
Retrouvez la forme passive de la phrase :
« Les tranchées et les trous d’ombre dessinaient l’ossature géante des quartiers. »
« L’ossature géante des quartiers était dessinée par les tranchées et les trous d’ombre. »