Coucou :) voici mes réponses.
- La lecture de ce texte m'a fait comprendre que Paris à des côtés positifs et négatifs. Dans le texte, s'est dit que Paris est une ville faite de « bizarres et larges contrastes » (l.20) « élégant » (l.3) « tes sombres paysages » (l.17)
- a. Un oxymore c'est une figure de style qui consiste à juxtaposer (coller) deux mots qui s'opposent
b. Il y a un autre oxymore, qui est « cette monstrueuse merveille (l.23)
c. En effet, ces oxymores créent des émotions « d'étonnement » « surpris » puisqu'ils associent un élément positif et un élément négatif. De plus, c'est pour cela qu'on sait pas si on voit la ville de manière méliorative ou péjorative
3. a. Ce passage évoque les immeubles car le narrateur par du « greniers » où habitent les pauvres, puis au premier étage on trouve les bourgeois,qualifiés « d'estomac heureux ». Également ,on rez-de-chaussée on trouve les boutiques, les magasins, le commerce.
b. On découvre des informations sur les habitants de Paris au XIXe siècle : l'utilisation des cheminées pour faire à manger, à boire. Les portes de Paris s'ouvrent le matin (l.8-9).Les vielles habitations avec de nouvelles instructions « vieux et pauvre » (l.2)
4. a. Dans ce texte, plusieurs éléments sont présentés par rapport à Paris. Le côté positif : l'élégance de la vie Parisienne « la jolie femme » (l.1), « tout neuf » (l.2). L'énergie constante qui animé la ville « vie toujours active » (l.6) « tout est vivant » (l.14). Une ville qui domine le monde entier « la tête du monde » (l.25) sa « poésie » (l.19). Le côté négatif : L'exiguïté de l'espace « trente mille hommes ou femmes, dont chacune ou chacun vit dans six pieds carrés, y possède une cuisine , un atelier, un lit, des enfants, un jardin, n'y voit pas clair » (l.11-13) l'accumulation qui met en avant que les habitants doivent loger un maximum d'éléments dans un minimum d'espace. Le mystères de certaines zones « tes sombres paysages » (l.17), « tes culs-de-sac profonds et silencieux » (l.17-18). La vie nocturne parisienne « tes murmures, entre minuit et deux heures du matin » (l.18-19).
5. Paris n'est plus comparé à un monstre mais un être humain donc il utilise la personnification. En effet, on lui prête des caractéristiques physiques ou morales grave à l'énumération « triste » « gai » « laid » « beau » « vivant » « mort » (l.25-26).Paris qui est une ville en devient même une femme « cette grande courtisane ».
6. ( j'ai pas trouvé une réponse vraiment satisfaite, et je ne sais pas si c'est vraiment la réponse correcte mais je vais essayer de répondre ). Les amants de Paris sont les habitants. L'écrivain en fait partie car c'est un écrivain français et car il a habité à Paris, il a passé la plus grande partie de sa vie à Paris.
