Sagot :
bonsoir, j'espère que ça t'aidera
Le narrateur fait la description d'une chambre de bonne ( domestique ), la position de celle-ci au sein de la maison. Félicité étant une servante cette pièce est donc une chambre de domestique du fait de sa taille de son exiguïté car "une grande armoire gênait pour ouvrir la porte". Du fait aussi de son emplacement, une petite pièce mansardée et peu ouverte sur l'extérieur : seul un oeil de boeuf permet une vue sur le jardin. Des objets trahissent le statut social du locataire de la chambre : les objets de toilette se trouvent dans la chambre ("un pot à l'eau, deux peignes et un cube de savon bleu"), caractéristiques d'une partie assez nécessiteuse de la société. De même, la nature de certains objets reflètent une certaine pauvreté : "le lit de sangles", "une assiette ébréchée".
évoque la chambre de Félicité comme un bazar, un mélange de "choses hétéroclites", qui se distinguent par leur variété. L'énumération des objets contenus dans la pièce donne l'impression d'un capharnaüm plus que d'une pièce à vivre ou d'une chambre à coucher. L'idée d'addition exagérée est perçue surtout par la syntaxe du texte, l'énumération, comme une liste. La nature des objets laisse penser qu'il s'agit d'un dépôt de vieilleries.
Flaubert compare la chambre à une "chapelle"