Réécrivez le passage suivant à l’imparfait. (7 points)
« Elle sent la graine et le grain.
Les culasses de blé s'affaissent et se tassent comme des endormis […]. Il y a dans l'air
la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'est ici que les
boulangers ou les meuniers, ceux qui font le pain, viennent s'approvisionner. »

Merci


Sagot :

Elle sentait la graine et le grain.
Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis. Il y avait l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisait le pain, venaient s'approvisionner.

Réponse:

" Elle sentais la graine et le grain.

Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis [...]. Il y avait dans l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisaient le pain, venaient s'approvisionner. "