Sagot :
Elle sentait la graine et le grain.
Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis. Il y avait l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisait le pain, venaient s'approvisionner.
Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis. Il y avait l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisait le pain, venaient s'approvisionner.
Réponse:
" Elle sentais la graine et le grain.
Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis [...]. Il y avait dans l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisaient le pain, venaient s'approvisionner. "