Sagot :
Réponse :
Elles vinrent par un jour horriblement pluvieux, leurs vêtements neufs étaient salis par la boue, on n'apercevait même plus les jolis cache-nez qui leur couvraient le bas du visage. Des traces de terre se dispersaient sur leurs joues, dissipant les taches de rousseur. Elles avançaient courageusement, heurtant les rafales : elles les évitaient comme elles pouvaient, marchant, marchannt toujours malgré le vent qui gémissait sans cesse sur leurs mains, sur leurs bras, sur leurs cheveux fous. Plus cruelle que jamais, la bise les torturait et emplissait leur coeur de mélancolie.
Explications :
Cc!
Expliqué de l’exercice :
Elles vinrent par un jour horriblement pluvieux, leurs vêtements neufs étaient salis par la boue, on n’apercevait même plus les jolis cache-nez qui leur couvraient le bas du visage.
- vinrent : on accorde le verbe à la 3e
npersonne du pluriel
- ses devient leurs
- le joli cache-nez devient les jolis cache-nez (pas de s au pluriel de cache-nez)
- qui leur couvraient : lui devient leur, couvraient se met à la 3e personne du pluriel
- le bas du visage ne change pas, il s’agit du bas du visage en général, ce que confirme l’emploi de l’article défini
Des traces de terre se dispersaient sur leurs joues, dissipant les taches de rousseur.
- ses devient leurs
- les taches de rousseur ne changent pas, il s’agit de l’article défini, d’une généralité
Elles avançaient courageusement, heurtant les rafales ; elles les évitaient comme elles pouvaient, marchant, marchant toujours, malgré le vent qui gémissait sans cesse sur leurs mains, sur leurs bras, sur les cheveux fous.
- elles avançaient passe au pluriel, comme elles les évitaient et elles pouvaient ; les (devant évitait) mis pour rafales et non pour les femmes ne change pas, marchant (participe présent) ne varie pas non plus
- le vent qui gémissait ne change pas, cela ne concerne pas les dames
- ses mains deviennent leurs mains, ses bras deviennent leurs bras
- les cheveux fous ne changent pas, c’est un article défini
Plus cruelle que jamais, la bise les torturait et emplissait leur cœur de mélancolie.
- plus cruelle ne passe pas au pluriel car c’est la bise, et non la dame, qui est cruelle
- son cœur devient "leur coeur "à elles mais elles n'en ont qu'un donc l'expression est au singulier
Voilà j'espère t'avoir aidé❤❤❤