Sagot :
Réponse :
Bonjour,
1) L'interprétation doit etre personnelle.
2) Verbes au futur de l'indicatif : "Je partirai", "j'irai", "je marcherai", "sera", "je ne regarderai".
3) Les types de vers : alexandrins.
4) Les rimes sont croisées.
5) Les types de strophes : quatrains.
6) Le type de poème : lyrique (Hugo exprime ses sentiments).
7) Anaphore : "Demain dès l'aube".
8) Comparaison : "Le jour pour moi sera comme la nuit".
9) Énumération : "Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées".
Réponse :
Comment pouvez-vous maintenant interpréter ce poème ?
Le poète, Victor Hugo, a écrit ce poème pour sa fille, morte noyée, quelque années plus tôt mais il ne se remet pas de sa disparition. Tous les ans, à la date d'anniversaire de son décès, il se rend sur sa tombe.
Par les procédés utilisés et le vocabulaire le lecteur de l'empathie pour le poète. Le poète s'exprime à la première personne et exprime sont sentiment de tristesse, c'est pourquoi ce poème est lyrique.
Relevez les verbes au futur de l'indicatif.
On relève beaucoup de verbes conjugués au futur de l'indicatif qui traduit l'ambition du poète de se rendre coute que coute sur la tombe de sa fille : ""je partirai", "j'irai", "j'irai", "je marcherai", "sera", "je ne regarderai", "j'arriverai", "je mettrai".
Etude de la versification: quels sont les types de vers ? Quelles sont les rimes ? les types de strophes ? le type de poème ?
Le poème est composé de trois quatrains en alexandrins (12 syllabes) avec des rimes croisées. C'est un poème régulier qui traduit la solennité du thème.
Dans le poème, relevez une anaphore, une comparaison, métaphore, une énumération.
On relève une anaphore du pronom personnel de la 1ère personne "je" aux vers 2, 4, 5 et 9 car il es répété 4 fois renforce ainsi l'implication du poète. Puis une comparaison au vers 8 : "le jour" (le comparé), comme (l'outil de comparaison) et "la nuit" (comparant) car Victor Hugo est tellement triste qu'il voit cette journée noire. Enfin, on relève aussi une métaphore "Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe", le poète ne regarde plus le paysage et une énumération au vers 7 : "Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées" qui met en relief la posture funèbre du poète comme lors d'un enterrement.