Sagot :
Réponse :
Depuis un an déjà, on nous parle de crise. La santé menacée a transformé nos vie.
La vie de tous les jours a été bouleversée. Ecoles fermées puis rouvertes. Cours avec des moitiés de classe. la distance partout. le masque est imposé. Il a fallu s'habituer. Dans la ville aussi, tout est figé : les commerces fermés, les vitrines vidées; plus de tarasses, plus de bistrots, plus de restaurants, plus de musée, plus de distraction. la règle est stricte à nouveau : couvre feu à 19. Curieux ce langage de temps guerre. isolement et gestes barrières. On a bien compris qu'il faut être loin de tous. Que sont mes amis devenus ?
Dans nos têtes aussi , beaucoup d'idées ont changé. On parle de morts, de malades, de contagion; On n'arrive plus à se projeter, à penser aux vacances, plus de projets, plus de vie sociale. tous aux abris ! mais on parle partout de dégâts psychologiques, de déprimes, d'inquiétudes, de chômage. Comment être gai dans ces conditions ? on se vaccine ou pas .? Les vaccins sont sûrs ou pas ? On va en sortir quand ? Pas de certitudes.
Serons-nous transformés à la sortie de la crise , Aurons-nous envie de faire la fête ou de nous méfier ? Allons-nous dépenser ou économiser ? Vivre le présent ou préparer l'avenir ? la jeunesse est-elle sacrifiée ou les vieux abandonnés. Je n'ai pas le coeur à le dire.
Explications :