Bonjour
Réponse :
"ces gens" par "nous"
Nous aurions pu nous tenir tranquilles. Rien ne nous forçait à l'action. La sagesse, le bon sens nous conseillait de manger et de dormir à l'ombre des baïonnettes allemandes et de voir fructifier nos affaires, sourire nos femmes, grandir nos enfants. Les liens matériels et les biens de la tendresse étroite nous étaient ainsi assurés. Nous avions même pour apaiser et bercer notre conscience la bénédiction du vieillard de Vichy. Vraiment, rien ne nous forçait au combat, rien que notre âme libre.