Sagot :
Bonjour,
Alors , je vais t'aider , tout d'abord parle de l'endroit où le pneu à creuvé , les personnes autours de toi , cherche le problème et identifie les personnes autour de toi trouve une solution et résume ( tu peux aussi faire une morale à la fin)
Bonne journjée
Tu peux dire :
Nous étions en voiture, puis d’un seul coup, un bruit se fit entendre.
Sous le choc et la surprise, ma mère et moi, se mettons à crier.
Le pneu avant droit venait de rendre l’âme.
Par réflexe, mon père, étant au volant, se dirigea sur la voie de droite afin de ne pas créer de danger.
J’avais peur, peur que des automobilistes arrivant à toute allure, nous foncent dans le par choc arrière, créant un accident. Le stress était omnipresent. Une fois à l’arrêt, à côté d’une bande d’arrêt d’urgence, mon père descendit de la voiture pour voir l’ampleur des dégâts. Ma mère s’énerva en disant, je cite “Punaise, c’est la cerise sur le gâteau !, il manquait plus que ça !”
Moi, essayant de calmer les tensions, j’étais dans ma bulle, en pleine hésitation, entre aider mon père à enlever le pneu et calmer ma mère.
Nous n’avions point de roue de secours.
J’avais un smoothie d’idées le passant par la tête. J’étais d’un côté, content puisque nous allions arriver en retard, et énervé et de m’être fait engeuler par mon père, qui me relança sans cesse je cite “Je suis député de ce que tu es devenu, ce que tu es ? Tu es un petit égoïste qui ne pense qu’à sa pomme”
Nous attendirent, près de 80 minutes, dans une atmosphère froide et désagréable.
Nous étions en voiture, puis d’un seul coup, un bruit se fit entendre.
Sous le choc et la surprise, ma mère et moi, se mettons à crier.
Le pneu avant droit venait de rendre l’âme.
Par réflexe, mon père, étant au volant, se dirigea sur la voie de droite afin de ne pas créer de danger.
J’avais peur, peur que des automobilistes arrivant à toute allure, nous foncent dans le par choc arrière, créant un accident. Le stress était omnipresent. Une fois à l’arrêt, à côté d’une bande d’arrêt d’urgence, mon père descendit de la voiture pour voir l’ampleur des dégâts. Ma mère s’énerva en disant, je cite “Punaise, c’est la cerise sur le gâteau !, il manquait plus que ça !”
Moi, essayant de calmer les tensions, j’étais dans ma bulle, en pleine hésitation, entre aider mon père à enlever le pneu et calmer ma mère.
Nous n’avions point de roue de secours.
J’avais un smoothie d’idées le passant par la tête. J’étais d’un côté, content puisque nous allions arriver en retard, et énervé et de m’être fait engeuler par mon père, qui me relança sans cesse je cite “Je suis député de ce que tu es devenu, ce que tu es ? Tu es un petit égoïste qui ne pense qu’à sa pomme”
Nous attendirent, près de 80 minutes, dans une atmosphère froide et désagréable.
