Bonjour, pouvez vous m'aidez à recopiez le texte en restituant la présentation du dialogue.



Mon père m’avait rapidement rejoint et il m’avait pris la main, comme du temps où j’étais encore un enfant. Je ralentis le pas : j’étais sans courage, je sanglotais éperdument. Père ! fis-je. Je t’écoute, dit-il. Est-il vrai que je pars ? Que ferais-tu d’autre ? Tu sais bien que tu dois partir. Oui, dis-je. Et je me remis à sangloter. Allons ! allons ! mon petit, dit-il. N’es-tu pas un grand garçon ? Mais sa présence même, sa tendresse même - et davantage encore maintenant qu’il me tenait la main – m’enlevaient le peu de courage qui me restait, et il le comprit. Je n’irai pas plus loin, dit-il. Nous allons nous dire adieu ici.

C'est pour demain, merci.​


Sagot :

Mon père m’avait rapidement rejoint et il m’avait pris là main, comme du temps où j’étais encore un enfant. Je ralentis le pas : j’étais sans courage, je sanglotais éperdument.
- Père ! Fis-je.
- Je t’écoute, dit-il.
- Est-il vrai que je pars ?
- Que ferais-tu d’autre ? Tu sais bien que tu dois partir.
- Oui, dis-je.
Et je me remis à sangloter.
- Allons ! Allons ! Mon petit, dit-il. N’es-tu pas un grand garçon ?
Mais sa présence même, sa tendresse même - et d’avantage encore maintenant qu’il me tenait la main- m’enlevait le peu de courage qu’il me restait, et il le comprit.
- Je n’irais pas plus loin, dit-il. Nous allons nous dire adieu ici.