Bonjour, pouvez-vous m'aider à répondre à ces questions de cette nouvelle ; la parure de Guy de Maupassant (Ce n'est pas possible !) voici la nouvelle ; LA PARURE
1) ligne 14-15 ; relevez les expansions du nom vêtement sur quoi insistent-elles ? b) cherchez dans la suite du texte , d'autres termes qui tranchent avec les deux premiers paragraphe ; quelle métamorphose se produit à l'issue du bal ?

2) a) à quel conte se passage vous fait-il penser ? b) En quoi ce récit est-il différent de ce conte? pour répondre, appuyer vous non seulement sur les étapes du récit mais aussi sur la situation du personnage avant et après le bal .

3) quelle critique l'auteur adresse-t-il ici aux femmes ? Justifier votre réponse


Sagot :

Réponse:

Désolé mais je ne vais pas répondre à la question 1 par contre je réponds à la question 2 et 3 voilà .

2) a) Maupassant s'inspire du conte Cendrillon en le réécrivant avec des éléments de son époque.

2) b) ce récit est différent du conte sur quelques points mais ils ont aussi quelques simillitudes. Avant le le bal, cendrillon et Mme Loisel mènent toutes deux une vie monotone. Ensuite elles auront toutes deux de précieux cadeaux faites par, la bonne fée pour cendrillon et Mme Forestier pour Loisel. Ensuite elles vont au bal, s'amusent et perdent toutes les deux un objet en s'enfuiyant. Mais juste après le bal, on se rend compte de quelques différences. D'abord l'heure du départ : cendrillon s'enfuit à minuit tandis que Mme Loisel s'en va à 4h. Ensuite il y a une grand différence au niveau du comportement : cendrillon est douce et pleine bienveillance alors que Mme Loisel est vénale. Et enfin, à la fin du conte, cendrillon épouse le prince et vit sa meilleure vie alors que Mme Loisel s'endette et vit une vie misérable.

3) je pense personnellement que l'auteur essaie de faire passer comme message aux femmes de ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre. Il faut se contenter de ce qu'on a et ne pas envier ce que les autres ont sinon ça pourrait nous mener tout droit en enfer et finir très mal.