Bjr, aidez moi svp, merci, bon journée !

« Elle abandonne son jardin et je pénètre à sa suite chez elle. »
a) Transforme « elle » par « Les déportées ».
b) Transforme « je » par « nous » et en effectuant toutes les modifications que vous jugerez nécessaires.

« Je me souviens de m’être rendu compte –alors que j’étais assis sur le théâtre, juste à la tombée de la nuit, ne pouvant détacher mes yeux de ce paysage inouï- de l’étrangeté de ce voyage en Grèce. J’étais venu ici, poussée par les fantômes et les mirages du passé […]. Ce jour-là, dans cette nuit de Delphes et ce silence des montagnes où nous épiaient, sans aucun doute, les partisans, je sentis qu’une Grèce mourait en moi et qu’une autre naissait. »
a) Transforme « je » par « elle » et indiquez les modifications. En effectuant toutes les modifications possibles.


Sagot :

Bonjour

a) Transforme « elle » par « Les déportées ».

Les déportés abandonnent leur jardin et je pénètre à sa suite chez eux.

b) Transforme « je » par « nous » et en effectuant toutes les modifications que vous jugerez nécessaires.

Nous nous souvenons de nous être rendu compte –alors que nous étions assis sur le théâtre, juste à la tombée de la nuit, ne pouvant détacher nos yeux de ce paysage inouï- de l’étrangeté de ce voyage en Grèce. Nous étions venus ici, poussés par les fantômes et les mirages du passé […]. Ce jour-là, dans cette nuit de Delphes et ce silence des montagnes où nous épiaient, sans aucun doute, les partisans, nous sentîmes qu’une Grèce mourait en nous et qu’une autre naissait. »

a) Transforme « je » par « elle » et indiquez les modifications. En effectuant toutes les modifications possibles.

Elle se souvient de s’être rendu compte –alors qu'elle était assise sur le théâtre, juste à la tombée de la nuit, ne pouvant détacher ses yeux de ce paysage inouï- de l’étrangeté de ce voyage en Grèce. Elle était venue ici, poussée par les fantômes et les mirages du passé […]. Ce jour-là, dans cette nuit de Delphes et ce silence des montagnes où l'épiaient, sans aucun doute, les partisans, elle sentit qu’une Grèce mourait en elle et qu’une autre naissait.