Sagot :
Réponse:
Comme le craignaient les grandes puissances représentées au congrès de Vienne, la France est, en 1830 comme
en 1848, le point d’origine de l’incendie, l’étincelle de cette Europe prête à s’embraser pour faire entendre la voix
des peuples. Face à une telle détermination, les souverains font le choix de l’unité. Ils n’empêchent certes pas
les soulèvements mais aident à les réduire. Après l’échec du Printemps des peuples, nombreux sont les patriotes
et les libéraux à prendre conscience que la victoire passera par d’autres moyens.