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Bonjour je doit rédiger un commentaire sur se sonnet mais je ne c'est pas du tout comment faire quelqu'un pourrait m'aider svp:


La nuit m'est courte, et le jour trop me dure,
Je fuy l'amour, et le suy'à la trace,
Cruel me suis, et requier'vostre grace,
derhande volle pitie
Je pren’plaisir au tourment, que j'endure.
Je voy’mon bien, et mon mal je procure,
Desir m'enflamme, et crainte me rend glace,
Je veux courir, et jamais ne deplace
L'obscur m'est cler, et la lumiere obscure.
Votre je suis et ne puis estre mien,
ebre
Mon corps est libre, et d'un etroit lien
Je sen'mon ceur en prison retenu.
Obtenir veux, et ne puis requerir,
Ainsi me blesse, et ne me veult guerir
Ce vieil enfant, aveugle archer, et nu.​

Sagot :

Explications:

Bonjour ! Déjà tu peux dire le nombre de syllabes et les rimes comment elles sont ( si tu sais comment ça s'appelle ! ) et après tu peux expliquer ce que tu ressens, ou encore quel message le/la poète a voulu faire passer. Tu peux également parler des figures de styles. Et aussi, tu peux dire sur quel thème est le poème ( romantique etc ) ou encore parler des émotions que l'on peut ressentir. Voilà ! Bonne journée !

Explications :

1) L'introduction: Pour commencer un commentaire il faut toujours débuter par une introduction afin de situer le poème et de pouvoir par la suite utiliser certaine chose que tu as appris du poème et de son auteur dans le développement, tu dois commencer par situer ton auteur ( Joachim du Bellay) dans son époque ( né 1522 et mort en 1560) pour pouvoir ensuite affiner tes explication en te concentrant sur le recueil (l'olive) et puis enfin sur le poème, que tu vas résumer en une ou deux lignes.  

Exemple de réponse possible :

1) L'introduction: Joachim Du Bellay est un auteur humaniste du XVIème siècle. Il est né en 1522 et mort en 1560. Ce poète appartient au groupe de la pléiade: celui-ci réunit sept poètes qui se détourne de l’héritage du Moyen-Age et se tournent vers la littérature antique. Entre 1549 et 1560, le poète publie un recueil de 115 sonnets intitulés «L’olive» qui sont écris à pour célébrer une maîtresse imaginaire (appelée Olive) qui s’inspire de Pétrarque. Nous étudions le vingt-sixième sonnet du recueille, «La nuit m’est courte, et le jour trop me dure », dans lequel Du Bellay déclare son amour à la jeune femme en lui expliquant que son cœur est piégé dans l’amour qu’il lui porte.

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