Réponse:
L'Église accorde un droit d'asile à l'esclave en fuite qui n'est rendu à son maître que sur promesse de ne pas le tuer. Ils ne s'attaquent pas à l'institution ni au droit de propriété ; l'Église possède d'ailleurs ses propres esclaves. L'affranchissement est prôné comme un acte pieux.