Il est presque abruti, laminé, fatigué, anéanti.
Et bien sûr il ne vit pas il survit.
C’est très rare qu’il réfléchisse.
Mais ce soir il est pensif.
Ce feu, ce mouvement dans la ville, ces cours d’eau bleus, ces chaussées roses
Ce vent frais sur son visage
Il ne sait pas pourquoi mais ça l’apaise
Et ça lui monte à la tête.