Sagot :
Le soleil tapait comme jamais, je regardais capucine . Elle me racontait une énième fois la fois où ont avait essayé de s'échapper de prison. " La prison" elle m'avait pourtant libéré. Il le méritais de mourir, chaque fois qu'il rentrait du boulot j'avais de nouveaux bleu qui apparaissaient. La maison empestait l'alcool, et a chaque fois il me répétait qu'il arrêterait. Il n'aura jamais pu tenir sa promesse. Les yeux vert de capucine me rappelle que, parfois il vaut mieux agir que rester les bras croisés. les feuilles s'assèchaient, le sol était dur. Mais je me sentais appaisé. Je suis loin de ces années, et s'il le faut, je suis prête à mourir. Mais il faut que je continue, tout au moin pour ma pauvre Capucine devenue une jolie femme. Je l'ai connue en prison. Elle y avait été jeté à cause de plusieurs délit. Ces parents l'avaient abandonné alors je l'ai élevé. D'une main sur mais tremblante je me relevit, et me remit à travailler durement . Capucine m'avait dit d'arrêter, mais il nous fallait de l'argent. Je travaillis comme jamais pendant des jours. La fièvre grimpais et m'emporta si bien, qu'un matin à l'aube. Quand la rosé venais de passer et que l'air était parfumé, ma pauvre petite me trouva inerte.
faudras que tu corriges les fautes ch'ui plus dans les matières scientifiques mais je lit beaucoup alors je me suis dit que je pourrais t'aider j'espère que c'est assez long bonne soirée !
