Sagot :
Réponse :
bonjour
Explications :
En effet, elle ne respirait pas la gaieté, cette villa. Non. Pourtant, j'ai d'abord estimé [que le qualificatif « triste » lui convenait mal]. Et puis, j'ai fini par comprendre [que Meinthe avait eu raison] [si l'on perçoit dans la sonorité du mot « triste » quelque chose de doux et de cristallin]. Après avoir franchi le seuil de la villa, on était saisi d'une mélancolie limpide. On entrait dans une zone de calme et de silence. L'air était plus léger. On flottait. Les meubles avaient sans doute été dispersés. Il ne restait qu'un lourd canapé de cuir sur les accoudoirs [duquel je remarquai des traces de griffes], et, à gauche, une bibliothèque vitrée. [Quand on s'asseyait sur le canapé], on avait, à cinq ou six mètres en face de soi, la véranda.
- 1ère proposition : "que.... mal " : proposition subordonnée complétive, introduite par la conjonction "que", COD du verbe "ai estimé"
- 2è proposition : " que... raison" : prop subordonnée conjonctive, introduite par la conjonction "que", COD du verbe "comprendre"
- 3è proposition : " si ...cristallin " : prop subordonnée conjonctive, introduite par la conjonction "si", compl circonstanciel d e condition du verbe " avait eu"
- 4è proposition : "duquel ...griffes ", prop subordonnée relative, introduite par le pornom relatif "duquel", a pour antécédent le nom "accoudoirs"
- 5è proposition : " quand... canapé " : prop subordonnée conjonctive, introduite par la conjonction de subordination "quand", cc de temps du verbe " avait"