Bonsoir , pouvez vous m'aider pour cet exercice je vous en prie !!!

3.Exercices complémentaires sur les propositions subordonnées relatives et les pronoms relatifs.
Surlignez( en majuscule) les propositions subordonnées relatives dans ce texte de Victor Hugo, encadrez(mettre entre parenthèses) les pronoms relatifs et soulignez(avec guillemet) leurs antécédents. Rappel : une proposition subordonnée relative complète un nom ou un pronom, pas un verbe. ATTENTION.

« J’étais dans une campagne ; une grande campagne triste où il n’y avait pas d’herbe. Il ne me semblait pas qu’il fît jour ni qu’il fît nuit.
Je me promenais avec mon frère, le frère de mes années d’enfance, ce frère auquel je dois dire que je pense jamais et dont je ne me souviens presque plus.
Nous causions et nous rencontrions des passants. Nous parlions d’une voisine que nous avions eue autrefois, et qui, depuis qu’elle demeurait sur la rue, travaillait la fenêtre toujours ouverte. »

J'étais dans une campagne; une grande campagne triste où il n'y avait pas d'herbe. Il ne me semblait pas qu'il fît jour ni qu'il fît nuit. Je me promenais avec mon frère, le frère de mes années d'enfance, ce frère auquel je dois dire que je ne pense jamais et dont je ne me souviens presque plus.

Nous causions et nous rencontrions des passants. Nous parlions d'une voisine que nous avions eue autrefois, et qui , depuis qu'elle demeurait sur la rue, travaillait la fenêtre toujours ouverte.

bonne fin de soirée☺☺☺

Sagot :

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