Sagot :
Je voulus me lever ; mais je me cognai
violemment le crâne. Brusquement, je me souvins.
Une horreur (souleva mes cheveux, je sentis
l'affreuse vérité couler en moi, des pieds à la tête,
comme une glace. Mon Dieu ! Jefis un effort
suprême pour me calmer et réfléchir. D'abord, le
grand danger me parut être dans l'étouffe-
ment qui augmentait. Cependant, je (tâtai
soigneusement autour de moi. Je (découvris, dans
la planche du bout, un nœud qui cédait légère-
ment sous la pression ; je (travaillai avec la plus
grande peine, je (finis par chasser le nœud, et de
l'autre côté, en enfonçant le doigt, je (reconnus
la terre, une terre grasse, argileuse et mouillée.
Alors, je commençai par des poussées légères,
les bras en avant, avec les poings. Le bois (résis-
ta. J'(employai ensuite les genoux, m'arc-bou-
tant sur les pieds et sur les reins. Il n'y eut
pas un craquement. Et ce fut à ce moment
que je (devins fou.