Réponse :
« Toutes les gares lézardées obliques sur la route
Les fils télégraphiques auxquels elles sont pendues
Les poteaux grimaçants qui ont gesticulé et les ont étranglés
Le monde s'est étiré s' est allongé et s'est retiré comme un accordéon qu'une main sadique a tourmenté
Dans les déchirures du ciel les locomotives en folie se sont enfuies
Et dans les trous [...]
Et les chiens du malheur qui ont aboyé à nos trousses