Sagot :
Depuis le début de l'année, quatorze cas de mutilation ont été recensés en France. D'abord en Moselle le 14 février, puis en Vendée, dans l'Aisne où encore dans le Jura. Des endroits aussi divers que le type d'equidés toucher. Les cas concernent à la fois des chevaux, des poneys, ou des ânes, - le modus operandi, lui est quasiment le même : l'animal est retrouver, gisant au sol, avec l'oreille droite découpée, souvent un œil arraché, parfois même d'autre parties du corps. Dès le 30 juin, le service central du renseignement territorial s'inquiètait, dans un communiqué, de la recrudescence du phénomène. Ace jour, dix procédures sont ouvertes le problème, c'est que les affaires ne sont pas centralisées. Différentes gendarmerie sont en effet concernées, ce qui ne facilite pas les avancées de l'enquête.