Sagot :
Réponse:
Je ne jamais cru que l'eau pouvait brûler. Je ne pense pas pourtant qu'elle brûle. Mais j'en suis dévoré. Je me sens entièrement envahi de cette quiétude. Quel calme majestueux, ce bruit assourdissant m'apporte calme et apaisement. Ce qui me fascine, je pense, c'est cette contradiction flagrante entre le bruit et l'impression d'immobilité qui émane de l'eau. La mer est comme une mère, elle me porte au loin. Je suis, je me sens vivre. C'est-à-dire que je ressens l'espace qui m'entoure avec la même intensité que si j'y étais. Et pourtant, je ne suis qu'un observateur !
Je n'ai jamais crû que telle paix existait. Je la recherche toujours dans un endroit sans bruit, apaisant, au fin fond des nuits blanches. Sans pour autant jamais deviner qu'elle tout près de moi, dans les bourrasques d'une mer tranquille de nuages. Ne suis donc qu'un sot qui croit trouver bonheur la où les autres ne voient que tristesse et désespoir ! Qui voit une mer là où d'autres voient des nuages !
Non, je suis, je le sens, un être nouveau, d'une époque nouvelle, celle du lien à la mer, celle du lien aux origines ! Je suis le voyageur !
Explications:
J'espère avoir aidé. Ce n'est qu'un texte à travailler.
L'idée, est de développer les pensées et sensations du voyageur.
Probablement, de développer également l'idée de la mer et de l'illusion que crée la nature à travers un descriptif précis, imagé, de ce que pense et sent le voyageur.