Sagot :
Réponse : Annie Ernaux décrit comme dans « Regarde Les lumières mon amour » l’hyperconsommation dans laquelle nous sommes enchaîné, elle parle d’une dictature douce, parce que nous ne nous en rendons pas compte, les hypermarchés nous obligés toujours à acheté plus « faites des affaires », même ce dont nous n’avons pas besoins puis ils nous font croire que l’on fait le bien, « lutter Tous ensemble contre la vie chère ». Tous cela sans que nous ne nous doutons de rien, mais encore que nous y croyons avec toutes ces fêtes commerciales qui ne font qu’amplifier tous cela.