Sagot :
Bonjour,
Voilà un résumé:
Anny a huit ans et demi quand elle perd ses parents asphyxiés au monoxyde de carbone dans leur salle de bains. A partir de ce moment, pour la petite fille, elle va continuer le chemin et un voile noir se posera sur la vie qu'elle a vécue avec ses parents. Elle n'en aura aucun souvenir. Grâce aux photos réalisées par son père, Lucien Legras, un photographe professionnel, elle reconstituera peu à peu son passé et soulèvera le voile. Elle sera alors capable de faire sortir un chagrin qui n'avait encore révélé que des blessures non palpables. C'est un très beau travail sur elle-même que l'auteure effectue, nous livrant des messages que je n'avais pas perçus lors de ma première lecture qui remonte à une vingtaine d'années (le livre est sorti en 1992). Je pense notamment à un passage très fort ou elle nous déclare qu'il faut faire pleurer un enfant qui a subi une perte, un deuil… C'est tellement vrai. Encore faut-il y arriver! Dans ce bel ouvrage illustré de photos, Anny Duperey tient à rendre hommage au talent de photographe de son père. Elle dédie le livre à sa soeur qui, en voyant la photo de mariage de ses parents croit voir un enterrement. Il est vrai que fin des années 50, la mariée était souvent vêtue d'un tailleur noir.
Voilà un résumé:
Anny a huit ans et demi quand elle perd ses parents asphyxiés au monoxyde de carbone dans leur salle de bains. A partir de ce moment, pour la petite fille, elle va continuer le chemin et un voile noir se posera sur la vie qu'elle a vécue avec ses parents. Elle n'en aura aucun souvenir. Grâce aux photos réalisées par son père, Lucien Legras, un photographe professionnel, elle reconstituera peu à peu son passé et soulèvera le voile. Elle sera alors capable de faire sortir un chagrin qui n'avait encore révélé que des blessures non palpables. C'est un très beau travail sur elle-même que l'auteure effectue, nous livrant des messages que je n'avais pas perçus lors de ma première lecture qui remonte à une vingtaine d'années (le livre est sorti en 1992). Je pense notamment à un passage très fort ou elle nous déclare qu'il faut faire pleurer un enfant qui a subi une perte, un deuil… C'est tellement vrai. Encore faut-il y arriver! Dans ce bel ouvrage illustré de photos, Anny Duperey tient à rendre hommage au talent de photographe de son père. Elle dédie le livre à sa soeur qui, en voyant la photo de mariage de ses parents croit voir un enterrement. Il est vrai que fin des années 50, la mariée était souvent vêtue d'un tailleur noir.