Sagot :
Réponse :
par une nuit de déceMbre.
c’était un soir de pleine lune aux environ de vingt-trois heures. Avec
un groupe d’aMis, en nous proMenant, nous soMMes passés devant le
cimetière de notre village. je ne sais plus qui en a eu l’idée, Mais,
coMMe c’était ferMé, nous soMMes Montés sur la grille et nous avons
tous commencé à regarder les noms gravés sur les tombes.
puis, le vent s’est Mis à souffler à nos oreilles. c’était une
sensation bizarre. Le moindre bruit nous faisait sursauter. Nous
avions l’iMpression que nos cheveux se dressaient sur nos têtes. Mon
cœur battait à cent à l’heure. le bruit, ce n’était, pourtant, que nos
pas sur le gravier, semblait-il.
Soudain un hurlement retentit, derrière moi ; une chauve-souris
frôla une caMarade, ce qui nous fit hurler tous en chœur. la peur au
ventre, nous nous mîmes à courir comme des fous.
Essoufflés, nous nous arrêtâmes devant une très vieille tombe
qui ne présentait qu’une siMple photo. c’était celle d’un hoMMe très
vieux, aux cheveux longs, avec un nez crochu, et, sur sa joue, on
croyait apercevoir le trou causé par une balle : image tout droit
sortie d’un filM d’horreur.
une terrible angoisse s’eMpara de Moi. j’avais l’iMpression que son
regard ne fixait que Moi. Mon cœur battait très vite, j’avais des suées
froides.
Ne pouvant plus supporter cette atmosphère (nous croyions
alors être entourés de fantômes), nous décidâmes de rebrousser
chemin en nous promettant de ne plus nous promener un soir de
pleine lune dans un endroit aussi effrayant.
Explications :
J'ai fait des mélanges de mes idées et de internet.