Sagot :
Réponse :
Le sable chaud chatouillait mes orteils. Ma peau était encore humide après m'être baignée dans le mer. Je m'allongeai confortablement sur ma serviette, et me préparai à faire une courte sieste car j'étais vraiment fatiguée. Tout à coup, j'entendis un cri, le cri d'un enfant. Je penchai la tête sur le côté pour essayer d'apercevoir quelque chose. Un grand monsieur tenait une petite fille par la main, en essayant manifestement de la calmer. Rien d'inhabituel, me dis-je. Je me rapprochai néanmoins pour écouter ce qu'avait à dire l'homme, sûrement son père. Il disait "calme-toi" et "tu sais que tu ne peux pas encore te baigner, tu es trop petite". Le poids de cette injustice me serra le cœur et je sentis la colère bouillonner en moi. Elle était petite, et alors ? Moi aussi j'étais petite et pourtant, je me suis quand même baignée. Sur le trajet du retour, je ne dis pas un mot.
Désormais, je ne comprends même plus la cause de ma colère. Certes, son père lui avait interdit de se baigner mais c'est parce qu'il l'aimait et trouvait cela dangereux. Je suis ridicule, me répétai-je. C'est le rôle d'un parent de protéger son enfant.
Hey, j'espère que ceci t'ira !
C'était un mardi, le mardi 7 juillet c'était un jour banale comme tout les autres. Le soleil d'été était tellement chaud qu'on pouvait faire cuire un oeuf sur le goudrons. De ce fait j'avais décidé d'acheter une bonne glace à la fraise pour me rafraîchir. Durant ma quête je marchais tranquillement quand soudainement j'entendis des cris aiguës. En relevant la tête en provenance de ces sons, ce que je vis me glaça le sang une femme était entrain de se faire agresser par un homme vêtu d'un pull d'une couleur sombre et d'un bonnet noir.
Énormément de personnes regardaient mais aucune ne réagissaient... Je me demandais ce qu'il allait se passait, personne n'etait entrain d'appelait la police, personne n'avait de réaction, que pouvais-je faire ?
Rester ici et regarder cette femme
se faire malmener par cet horrible homme ? Devais-je agir et aider cette personne en
détresse ?
Ou fallait-il que je prévienne les autorité pour qu'il vienne à son secour ?
Je ne savais plus quoi faire et finalement je resta immobile paralysé par mes tourments sur le trottoir brûlant d'un soleil infâme à observé la scène en tant que témoin.
Quand brusquement un homme au lunette de soleil et à une allure de basket-ball américain porta un coup à l'assaillant lui faisant décrocher sa mâchoire. Ce dernier tomba par terre mettent ces mains à sa bouche sanglanté. L'héro pendant se temps se hata d'aller vérifier l'état physique et mentale de la femme en détresse. Tout en prenant son téléphone de sa poche pour sûrement téléphoner au force de l'ordre. Les policiers vinrent et la femme fut sauvée.
Je fut choqué(e) du courage de cet homme comparé à moi-même. Celui-ci aurait était comparable au vaillant chevalier Lancelo. Moi en aurait pas pu en dire autant... j'était resté immobile pendant que cette pauvre femme se faisait harceler. Le sentiment de culpabilité finit bientôt par se dissiper pour laisser place à une émotion de honte, coupant mon envie de glace. Je fit demi-tour pour rentrer chez moi avec remords accompagné de ce soleil chaud comme une braise.
Voilà j'espère que ceci t'ira... Pour corriger les fautes d'orthographe je te conseille de passer le texte sous scribens un correcteur de faute d'orthographe ^^.