On voit que l'enfant 1 possède 2 allèles du gène A- et qu'il est malade alors que l'enfant 2 qui est hétérozygote possède 1 allèle A- et 1 allèle A+ et n'est pas atteint de leucodystrophie, on conclue que l'allèle A- du gène A qui empêche la fabrication d'une protéine responsable de la dégradation des acides gras est récessif et l'allèle A+ est dominant. Il faut donc posséder l'allèle A- sur les 2 chromosomes de la paire pour être atteint de cette maladie.