Sagot :
Réponse : les subordonnées conjonctives
Les subordonnées relatives
Un sentiment triste amenait aux Tuileries une brillante et curieuse population. Chacun semblait deviner l’avenir, et pressentait peut-être que plus d’une fois l’imagination aurait à retracer le tableau de cette scène, // quand ces temps héroïques de la France contracteraient, comme aujourd’hui, des teintes presque fabuleuses.
— Allons donc plus vite, mon père, disait la jeune fille avec un air de lutinerie en entraînant le vieillard. J’entends les tambours.
— Ce sont les troupes qui entrent aux Tuileries, répondit-il.
— Ou qui défilent, tout le monde revient ! répliqua-t-elle avec une enfantine amertume qui fit sourire le vieillard.
— La parade ne commence qu’à midi et demi, dit le père qui marchait presque en arrière de son impétueuse fille.
À voir le mouvement qu’elle imprimait à son bras droit, vous eussiez dit qu’elle s’en aidait pour courir. Sa petite main, bien gantée, froissait impatiemment un mouchoir, et ressemblait à la rame d’une barque qui fend les ondes.