Sagot :
Mais pour savoir ce qu’est la sagesse, c’est-à-dire qu’elle est la meilleure façon de vivre pour un être humain, ne vaudrait-il pas savoir ce qu’il convient à l’homme ? Et pour savoir ce qu’il convient à l’homme, ne faudrait-il pas savoir ce qu’est l’homme ? C’est la philosophie et recherche il y a de la sagesse et si le sage et l’idéal du philosophe, le problème philosophique fondamentale, celui en vue du tel se pose tous les autres, ne peut être que celui de l’homme. Toute philosophie revient à dire à l’homme : voilà ce que tu es, voilà ce que tu signifie, voilà ce que tu as affaire, voilà ce qui t’attend, bref revient à donner à l’homme une certaineIdée de l’homme. En d’autres termes, toute philosophie ne fais que répondre à l’impératif : connais-toi toi-même c’est-à-dire : pommes, sache que c’est Guillaume que le premier message de la Grèce aurais été crevé au fronton du temple d’Apollon Adelphe comme étant la parole d’accueil du dieu de la connaissance et ton Socrate si ça te dit bises. C’est la grandeur et la place d’un philosophe tiennent avant tout à ce qui nous dit de l’homme comprend l’importance de la montagne. Il ne demande qu’à devenir plus sage mais il ne voit d’autres moyens d’aller à la sagesse que la connaissance de soi. C’est pourquoi il ne fait trop impression que de chercher, comme Socrate, à se connaître. Il aime les livres Mae : je n’ai cher dit-il, que la science qui me traite de la connaissance de moi-même, et tu m’instruise à bien mourir et à bien vivre…