Bonjour
J'ai un texte a récrire en français mes je n'y arrive pas et je comprend pas pouvez vous m aidez svp :

pour produire une vision péjorative et effrayante de la ville.

J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent.
À gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointu des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans l’air bleu des belles matinées, jetant jusqu’à moi leur doux et lointain bourdonnement de fer, leur chant d’airain Que la brise m’apporte, tantôt plus fort et tantôt plus affaibli, suivant qu’elle s’éveille ou s’assoupit. Comme il faisait bon ce matin!
Merci beaucoup

Je n'aime pas la maison où j'ai grandi! De mes fenêtres crasseuses, j'aperçois à peine la Seine, ce fleuve noir qui coule le long de mon jardin plein d'orties et de mauvaises herbes, derrière la route complètement défoncée, presque chez moi, la sombre et tortueuse Seine qui va de Rouen au Havre, couverte de détritus nauséabonds.

A gauche là-bas, Rouen, la ville à moitié déserte aux toits grisâtres, écrasée par le peuple pointu des clochers menaçants. Ils sont innombrables, monstrueux, dominés par la flèche de fonte de la cathédrale hantée et plein de cloches qui font un brouhaha insupportable dans l'air brumeux des matinées maussades, vomissant jusqu'à moi leur désagréable et funeste cacophonie, leur chant de hyènes. Que les vents furieux m'apportent, tantôt forts et tantôt faibles, suivant qu'ils se mettent en colère ou chuintent. Comme il faisait moche ce matin!

Sagot :

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