Pouvez-vous m’aider à reformuler cette phrase s’il vous plaît.

Psychologiquement, la guerre fut également éprouvante pour la population civile. Le mari parti au front, fut une pensée omniprésente pour les familles. L'attente d'éventuelles nouvelles ou d'un retour se transformant le plus souvent en deuil à l'annonce de la mort du soldat. La peur, l'angoisse firent partie intégrante de la vie des civils durant la « Grande Guerre » dans le cas des civils éloignés des zones de combat. Il en va de même, voir davantage, pour les familles proches du front, qui purent perdre leur mari, leur toit et tout ce qu'il possédait avant la guerre.


Sagot :

Psychologiquement parlant, cette guerre tue également des civils. Le mari est allé à la réception pour être omniprésent dans leur famille. Après avoir annoncé la mort du soldat, les attentes de nouvelles ou de retour de nouvelles se transforment généralement en deuil. Pendant la «guerre», pour les civils éloignés de la zone de guerre, la peur et la douleur font partie intégrante de leur vie. Pour plus de gens, il en va de même pour les familles proches de la ligne de front: elles risquent de perdre leur mari, leur toit et tous leurs biens avant la guerre.