Réponse :
On m'appelle le désespéré. Ceux qui me connaissent ont reconnu un autoportrait mais si éloigné de l'image que j'ai souvent donnée : celle d'un peintre jovial et rieur. mais au fond de moi, cachée aux regards des autres, l'inquiétude, le manque de confiance, les questions. Alors, seul dans mon atelier, les jours de désespoir, mes cheveux se hérissent, mes yeux exorbités l'effraient dans la glace. Le désespoir est un masque hideux pour les jours de cafard.
Explications :