Sagot :
Bonsoir,
Le métro est comparé par métaphore à un dragon ou à un monstre qui dévore et recrache les passagers. Champ lexical du dévorement : béait (comme une bouche béante), attirant dans sa gueule noire, vomissait, odeur des entrailles du monstre, qui puent fort.
Les passagers sont quant à eux assimilés à des victimes (groupes d’imprudents, paquet d’individus pâlis et amoindris).
Bonne soirée !
Le métro est comparé par métaphore à un dragon ou à un monstre qui dévore et recrache les passagers. Champ lexical du dévorement : béait (comme une bouche béante), attirant dans sa gueule noire, vomissait, odeur des entrailles du monstre, qui puent fort.
Les passagers sont quant à eux assimilés à des victimes (groupes d’imprudents, paquet d’individus pâlis et amoindris).
Bonne soirée !
BONJOUR
Réponse :
Le texte suivant est construit sur le rapprochement entre deux éléments.
- lesquels ?
Le métro est rapproché à un monstre.
- quels sont les termes qui composent les champs lexicaux associés aux éléments rapprochés ?
Champ lexical du monstre : béait, sa gueule, vomissait, odeur des entrailles du monstre, puent fort
- identifiez la figure de style dominante dans l'ensemble du texte en utilisant des comparaisons.
La figure de style se nomme la personnification car on attribue à une chose inanimée, le métro, des caractéristiques humaines comme : béer, vomir, entrailles.