Sagot :
Réponse :
On l'a vu, la caméra de surveillance l'a montré, courir derrière l'agresseur. A n'en point douter, c'était son complice. La police l'arrête, l'interroge, le met en garde à vue. La presse s'empare du fait divers. Encore des malfaiteurs en duo qui ne craignent plus la police et qui agissent en plein jour. Les badauds de confirmer, les gogos de commenter.
Trois jours plus, preuve et faite que celui qu'on croyait impliqué et complice, faisait au contraire preuve d'un grand sang froid pour courser le malfaiteur.
Il fallut trois jours aux enquêteurs et aux journalistes pour rétablir la vérité et si possible laver l'honneur de ce passant courageux.