légumes pour faire une salade.
! DM - Réécris à l'imparfait le texte suivant !
! Il y a dix-sent verbes en tout: chaque verbe bien conjugué compte 1 point.
Aide - N'oublie pas de te poser la question “qui fait l'action du verbe ?" pour savoir à quelle personne conjuguer les
verbes.
Changements à faire - Tu souligneras le titre du journal et remplaceras les connecteurs temporels "maintenant" (1.1) et
"cette fois" (1.5 par "à ce moment-là" et "cette fois-là”: cela te permettra de gagner 3 points.
Attention I -Chaque faute de copie te coûtera 0,5 point.
Cher lecteur de Phosphore,
C'est à toi d'ouvrir les yeux maintenant. Tu le sais comme moi : aux terribles injustices qui ravagent
l'humanité et qui font que l'espoir des deux tiers de la population mondiale ne consiste plus qu'à tenter de
survivre au jour le jour, vient s'ajouter le fardeau d'une empreinte écologique excessive. [.]
Plus personne ne peut le nier, les scientifiques sont unanimes, et nous le constatons chaque jour : jamais, dans
l'histoire de l'humanité, les menaces n'ont été aussi grandes. Cette fois, c'est le fragile équilibre de la vie
même qui est en jeu. Ce sont l'air, l'eau, le sol, le climat, les océans, les fleuves, les forêts, les animaux, les
plantes, les glaciers que nous sommes en train de massacrer méticuleusement. Tous les équilibres et les
ressources qui garantissent notre milieu de vie se trouvent compromis. La civilisation ne tient plus qu'à un fil.
Nicolas Hulot, « Lettre ouverte aux jeunes », parue dans le journal Phosphore (mai 2007)


Sagot :

Réponse : 17 verbes à l'imparfait

Cher lecteur de Phosphore,

C'était  à toi d'ouvrir les yeux  à ce moment - là. Tu le savais comme moi : aux terribles injustices qui ravageaient   l'humanité et qui faisaient que l'espoir des deux tiers de la population mondiale ne consistait plus qu'à tenter de  survivre au jour le jour, venait s'ajouter le fardeau d'une empreinte écologique excessive. [.]

Plus personne ne pouvait le nier, les scientifiques étaient  unanimes, et nous le constations chaque jour : jamais, dans  l'histoire de l'humanité, les menaces n'avaient  été aussi grandes. Cette fois- là, c'était le fragile équilibre de la vie  même qui était en jeu. C'étaient l'air, l'eau, le sol, le climat, les océans, les fleuves, les forêts, les animaux, les  plantes, les glaciers que nous étions  en train de massacrer méticuleusement. Tous les équilibres et les  ressources qui garantissaient notre milieu de vie se trouvaient compromis. La civilisation ne tenait plus qu'à un fil.

Nicolas Hulot, « Lettre ouverte aux jeunes », parue dans le journal Phosphore (mai 2007)