Sagot :
Bonsoir!:)
Réponse:
Je vais essayer de t'expliquer ça clairement ,tout d'abbord l'anaphore
prenons un exemple:
jour de lenteur ,jour de pluie ,jour de miroir brisé..
dans la phrase je t'ai souligner le même mot,qui revient sans cesse ,c'est le principe même de l'anaphore .
Les vers d'une anaphore commence toujours par le même mot!
Ensuite l'antithèse :
un ver de terre amoureux d'un étoile
l'antithèse exprime quelque chose d'illogique ,d'impossible ,il est irréalisable dans la réalité et n'a aucun sens.
Bonsoir, l’anaphore est la répétition en début de vers d’un ou de plusieurs mots. On ne la trouve donc qu’en poésie, qu’en chanson, ou dans les pièces de théâtre en vers. Exemple :
Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire,
Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire...
Le Cid, Corneille.
Dans cet extrait, « Mon bras qu... » est en anaphore.
L’antithèse exprime deux contraires flagrants dans la même phrase. Par exemple : chaud / froid, bien / mal, pauvreté / richesse, guerre / paix, etc... Cette opposition sert à souligner le contraste entre deux idées opposées, notamment dans les discours politiques ou dans les poèmes. A ne surtout pas confondre avec l’oxymore, qui oppose deux mots de sens contraire, reliés entre eux par un tiret (clair-obscur, mort-vivant...).
La comparaison : elle établit une relation de ressemblance entre deux éléments, au moyen d’un outil grammatical comme : pareil à, tel que, comme, de même que, semblable à... Exemples : il est bête comme ses pieds. « Il » est comparé à « ses pieds » ; « Tel père, tel fils » : les qualités ou les défauts d’un enfant sont mis en parallèle avec ceux du père.
Voilà, bonne soirée !
Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire,
Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire...
Le Cid, Corneille.
Dans cet extrait, « Mon bras qu... » est en anaphore.
L’antithèse exprime deux contraires flagrants dans la même phrase. Par exemple : chaud / froid, bien / mal, pauvreté / richesse, guerre / paix, etc... Cette opposition sert à souligner le contraste entre deux idées opposées, notamment dans les discours politiques ou dans les poèmes. A ne surtout pas confondre avec l’oxymore, qui oppose deux mots de sens contraire, reliés entre eux par un tiret (clair-obscur, mort-vivant...).
La comparaison : elle établit une relation de ressemblance entre deux éléments, au moyen d’un outil grammatical comme : pareil à, tel que, comme, de même que, semblable à... Exemples : il est bête comme ses pieds. « Il » est comparé à « ses pieds » ; « Tel père, tel fils » : les qualités ou les défauts d’un enfant sont mis en parallèle avec ceux du père.
Voilà, bonne soirée !