Sagot :
Bonjour
Je te rends ce joli trésor complice
Qui me rappelle trop ton souvenir supplice
Il te ressemble, et me fait beaucoup souffrir
Ton souvenir funeste hante tant mon désir
J'aurai tant aimé voir grandir notre bel amour
Mais plutôt mourir que ne l'être pour toujours
Ton regard insistant sur mon âme perdue
Je suis seule sans toi, je me retrouve perdue
Si seulement ma peine pouvait être froide
Pour ne plus t'aimer avec autant d'ardeur
Je ne puis trop m'empêcher d'écouler mes pleurs
Tu étais mon amour, ma lumière, mon étoile
Plein de charme m'avouerait tes fervents aveux
Mon cœur était simple mais il reste malheureux.