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Bonjour j'ai 2 exercices à rendre pour mardi 15 sept en histoires sur le chapitre de la première querre mondiale.

-Question 1 (doc1 et 2): Quelles sont les armes citée dans les textes ? Quelles sont les plus meurtrières ?
-Question 2 Quels sont les problèmes dans les tranchées en dehors des combats ? Comment le soldat reste-t-il en contact avec l'arrière ? (doc2)

Doc 1 :L'enfer de la bataille de Verdun (1916)
« Mardi 29 février 1916. Le carnage est immense. La
débauche de projectiles d'artillerie est incroyable: 80000
obus en quelques heures sur un espace de 1000 mètres
de long sur 300 à 400 mètres de profondeur. Trois mil-
lions d’obus en quelques jours. On se demande comment
des êtres vivants arrivent à se maintenir et à combattre
dans un pareil enfer, où il ne reste pas un seul pied carré
qui ne soit labouré par des obus de gros calibre.
Mercredi 29 mars. Les Allemands, avec une ténacité
inouïe, avec une violence sans égale, attaquent nos
lignes qu'ils martèlent et rongent. Nos poilus héroïques
tiennent bon, malgré les déluges d'acier, de liquides
enflammés, de gaz asphyxiants.
Lundi 21 août. Près d'un million d'hommes (1) sont tombés là, sur ce front minime. Des centaines de milliers
de tonnes d'acier et d'explosifs ont été déversées sur
ce sol. Le résultat est nul.
Dimanche 17 décembre 1916. Beau succès tactique
de nos troupes en avant de Verdun qui nous ren
presque intégralement les positions que nous occL
pions le 25 février. »
- Extraits du Journal de guerre du docteur Marcel Poisot.
(Le manuscrit a été retrouvé en 1986.)
1. En fait, il y aura 306 000 morts.

Le doc 2 est l'image. ​

Bonjour Jai 2 Exercices À Rendre Pour Mardi 15 Sept En Histoires Sur Le Chapitre De La Première Querre MondialeQuestion 1 Doc1 Et 2 Quelles Sont Les Armes Citée class=

Sagot :

Bonjour,

1 ) Les armes citées dans le texte sont : les obus, les lance - flammes et les gaz asphyxiants.

Les plus meurtrières sont les bombardements : 3 000 000 millions  d'obus tirés en quelques jours sur une petite étendue de terrain.

2 ) En dehors des combats la vie dans les tranchées reste pénible : la faim, la peur permanente, la chaleur ou le froid, la pluie, la boue, les poux, les rats, les cadavres d'hommes et de chevaux en décomposition, les avions ennemis qui bombardent et mitraillent les positions....

Un service de courrier permet aux soldats de rester en contact avec leurs familles et l'arrière, ils bénéficient, parfois, de jours de permissions mais doivent vite se replonger dans l'enfer des combats.

J'espère avoir pu t'aider.

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