Sagot :
Réponse :
1. Rica porte sur la société parisienne du XVIII° siècle le regard étonné et amusé d'un étranger.
Il peut arriver à un provincial de s'étonner de l'agitation parisienne ou des extravagances des tenues vestimentaires.
2. Bien sûr, pour faire sourire, il y a dans le récit de Rica des exagérations, des hyperboles mais on pourrait aujourd'hui s'étonner de certaines audaces de coiffures, de certaines excentricités de tenues, de fantaisies et d'audaces dans l'allure des citadins.
1. On repère les indices d'une lettre : l'en-tête, l'émetteur, le destinataire, le lieu, la date
Rioca à Rhedi à Venise
A Paris le 8 de la lune de Saphar 1712
2. La thèse : la mode des Parisiens est étonnante.
Les arguments :
Elle est changeante.
Elle est capricieuse.
Elle est coûteuse.
Les exemples : les coiffures, les chaussures.
3. Six mois d'absence de Paris et les femmes sont "antiques"
Tantôt le visage est au centre de la silhouette (tant les perruques sont hautes), tantôt ce sont les pieds tant les talons sont hauts.
4. Le texte de Rica évolue. Il parle surtout de la mode mais la montre aussi changeante en fonction de l'âge du roi. On sent poindre une critique politique.
Explications :