1.Je veux qu'elles soient heureuses. 2.Il est,vois-tu,des circonstances dans la vie où il faut jouer gros jeu et ne pas user son bonheur à gagner des sous. 3.Les affections de l'homme se satisfont dans le plus petit cercle aussi pleinement que dans une immense circonférence. 4.Qu'il coûte un million par an ou cent louis , la perception est toujours intrinséque en est la même au-dedans de nous. 5.Je conclus en pensant à la vie du chinois. Pourriez-vous m'aidez à expliquer les relations grammaticales et sémantiques dénotés par les morphèmes utilisés dans les phrases ci-dessus 1.Que 2.vois-tu/où/user 3.Que 4.que 5.en pensant

Sagot :

Réponse :

Explications :

1.Je veux ( qu'- conjonction de subordination - elles soient heureuses).

Subordonnée complétive

2.Il est, vois-tu, (proposition incise) des circonstances dans la vie ( -pronom relatif- il faut jouer gros jeu ) Subordonnée relative et ne pas user  ( cod de il faut sous entendu) son bonheur à gagner des sous.

3.Les affections de l'homme se satisfont dans le plus petit cercle aussi pleinement que (locution conjonctive qui introduit une comparaison) dans une immense circonférence.

4.Qu'(conjonction de subordination qui marque l'alternative) il coûte un million par an ou cent louis , la perception est toujours intrinsèque en est la même au-dedans de nous.

5.Je conclus en pensant (gérondif) à la vie du chinois.