Sagot :
Réponse :
2. Indications permettant de situer l’histoire :
dans le temps : “sous le clair de lune” (ligne 4), “La nuit était tombée” (ligne 6), “après avoir traversé le champ de parade et avoir franchi les grillages” (ligne 10), “nous réintégrâmes finalement” (ligne 11), “dans la matinée” (ligne 30).
dans l’espace : “la prison” (ligne 1), “Spirit Lake” (ligne 3), “hors des barbelés” (ligne 3), “derrière ceux-ci” (lignes 4-5), “Près de deux cent mètres nous séparaient de l’enceinte de fer.” (ligne 5), “le champ de parade” (ligne 10), “la cour intérieure du camp de détention” (lignes 11-12), “l’escalier central menant au mess du colonel et des officiers supérieurs.” (lignes 15-16), “Cette bâtisse à moitié enneigée était la moins minable de toutes celles érigées à l’intérieur du camp” (lignes 17-18), “son immense cheminée qui dressée au pignon du toit, semblait en prolonger le faîte, elle surplombait tous les baraquements.” (lignes 18-19), “une vue imprenable sur le lac de l’Esprit, le balcon qui ceinturait le second étage constituant la première loge.” (lignes 20-21), “la salle à manger enfumée” (ligne 22), “Je remarquai au fond de la pièce un piano droit” (lignes 26-27), “des cuisines” (ligne 28), “à l’infirmerie” (ligne 30).
3. La figure de style employée ici est une personnification, en effet le vent est personnifié. Cette phrase signifie que le souffle du vent vient déplacer le travail effectué par les hommes au niveau de la tranchée.
4. Cette phrase a été construite autour de l’ironie, elle exprime le contraire de ce qui est vraiment pensé. Dans cette phrase, le narrateur loue les louanges de la liberté, du train et du Québec, comme s’il était heureux de la situation dans laquelle il se trouve alors que l’on voit bien qu’il doit faire face à de nombreuses difficultés : les phénomènes météorologiques (comme la neige, la tempête, le vent, le froid), ses difficultés pour se déplacer, les problèmes de communication…
J’espère que cela pourra t’aider, bon courage !
Explications :