bjr
Ecoutez, bûcherons, arrêtez un peu les bras !
Ce ne sont pas des bois que vous jetez à bas ;
Ne voyez-vous pas le sang, lequel dégoutte....
Des nymphes qui vivaient dessous les dures écorces ?
Forêts, hautes maisons des oiseaux ...
Plus les cerfs solitaires et les chevreuils légers
Ne paîtront sous vos ombres et vos vertes crinières
Plus du soleil ....
Plus les amoureux pasteurs, sur des troncs adossés
Enflant leurs flageolets à quatre trous percés
Leur mâtin à leurs pieds, à leur flanc leur houlette
Ne diront plus l'ardeur de leur belle Jeannette
