Sagot :
Réponse :
à d’Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Leurs rêves les hantent
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
à d’Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
à Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaise
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanche
à Amsterdam ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
à Amsterdam les gens
Se plantent le nez dans le ciel
et
Se mouchent dans les étoiles